Résumé de la Ronde de Vélizy - 10 km

Dès le matin, j'avais des rondins de bois à la place des jambes, mais pas question de rater le départ de la course.

Comme je n'avais pas encore récupéré le dossard et que je ne souvenais plus lors de mes précédentes participations s'il était facile de se garer, je suis parti un peu tôt de la maison... du coup, je trouve une place à quelques dizaines de mètres du départ, mais j'étais un peu le seul adulte-coureur lors des courses enfants.

Récupération du dossard, salutations à mon ami Hubert qui commente les courses (et sera chez nous le 1er mars pour la 16ème édition des 6 et 12 km de Carrières) et je vais voir le départ du 5 km. Ca part vite... et ça finit vite aussi, en 15' environ.
Petit échauffement en douceur dans les rues adjacentes au stade puis positionnement sur la ligne de départ. J'y retrouve Paolo, son frère et un autre coureur d'Issou... à part cela, pas de connaissances ; le parcours ayant été modifié, la course n'est plus qualificative pour les Championnats de France et certains ont sans doute préféré se replier sur d'autres courses ou attendent Montigny pour tenter la qualif.

Le départ est donné et on emprunte une partie du circuit "historique" de la course, avant de rejoindre le parc, dans le sens inverse des années précédentes. Au vu des indications kilométriques, je vois rapidement que la course se fera en deux boucles... je n'en avais pas souvenir, mais de toutes façons 10 km c'est 10 km !

Le passage dans le parc mérite d'être attentif car il y a pas mal de trous dans la chaussée et, après avoir discuté du parcours avec quelqu'un de l'Athlétic Club de Vélizy-Villacoublay, je pense que ça a peu de chances de s'améliorer dans les prochaines années.

Pendant près de 8 km je suis au même niveau qu'un coureur de Chaville qui me lâche de quelques mètres sur les deux derniers km... avec les jambes lourdes, c'est difficile d'accélérer à la fin, alors je décide de rester à ma place, personne n'étant réellement en vue derrière moi.
Au final, le passage sur la ligne d'arrivée est un soulagement et le chrono, pas aussi mauvais que ce que je pensais... 48' c'est plus qu'acceptable pour moi et ça donne du 12.5 km/h de moyenne.

Un petit ravitaillement et hop, je vais à l'entrée du stade pour encourager Paolo qui arrive quelques minutes plus tard, puis je rentre à la maison (ou plutôt au restau) où m'attendent ma femme et ma fille pour déguster un bon gros hamburger "maison" et un bon dessert ; il faut savoir se faire plaisir quelquefois !

Bernard L.